La sénatrice Egyptienne Dr Rasha Kelej (CEO de la Fondation Merck) fait partie des « 100 Africains les plus influents de 2025 », reconnus par le prestigieux magazine britannique « New African ».
C’est la 7ème fois consécutive que Dr Rasha Kelej est distinguée pour l’impact de ses actions dans les domaines de la santé publique, de l’autonomisation des femmes et de la scolarisation des filles. Cette année, elle se retrouve aux côtés des présidents de l’Angola, de l’Afrique du Sud et du Ghana.
La sénatrice se distingue par son approche unique, alliant philanthropie, engagement politique et impact social durable à travers le continent. Sous son impulsion, la Fondation Merck a octroyé des milliers de bourses d’études médicales dans des spécialités essentielles telles que la fertilité, l’oncologie, le diabète et l’hypertension.
« Son projet phare, l’initiative des Premières dames de la Fondation Merck (MFFLI), s’associe aux premières Dames africaines pour promouvoir la santé des femmes, l’éducation des filles et la formation scientifique, ce qui offre un accès privilégié aux instances dirigeantes nationales et un impact transcontinental », lit-on sur les pages du magazine New African.
Cette édition spéciale du magazine New African met en lumière des personnalités qui façonnent le présent et tracent de bonnes perspectives pour l’avenir du continent. Et Dr Rasha Kelej est classée dans la catégorie des « Acteurs du changement« .
Pour la sénatrice, c’est un honneur, et en même temps, une responsabilité : celle de poursuivre cet engagement en faveur de la santé publique, de l’autonomisation des femmes et de la scolarisation des filles à travers le continent.
« Pour mon équipe et moi, c’est une motivation à poursuivre notre engagement pour créer un impact durable et équitable à travers l’Afrique, et pour les générations à venir », a-t-elle déclaré.
Un impact concret sur la santé et l’éducation
Rappelons qu’au cours des 13 dernières années, la Fondation Merck a collaboré avec plus de 33 Premières dames d’Afrique et d’Asie pour déployer des programmes majeurs :
- Programme de bourses pour les prestataires de soins de santé : Pour transformer le paysage des soins et améliorer l’accès à des solutions de qualité.
- Mouvement « Plus qu’une Mère » (More Than a Mother), créé en 2015 pour briser la stigmatisation liée à l’infertilité et renforcer les capacités en soins reproductifs.
- Programme « Éduquer Linda » (Educating Linda), qui vise à soutenir l’éducation des jeunes filles.
Des ministères de la Santé, de l’information, de l’éducation et du Genre de plus de 52 pays y ont également contribué.
« Nous avons octroyé 2 500 bourses à des prestataires de santé dans 44 spécialités médicales critiques. Nombre de nos diplômés sont devenus les premiers spécialistes dans leurs pays respectifs. Nous bâtissons un héritage durable », a salué Dr Kelej.
Soulignons que 770 de ces bourses ont été spécifiquement dédiées à la fertilité, l’embryologie et la médecine reproductive dans 42 pays.
Dans le domaine de l’éducation, la fondation en collaboration avec les premières Dames d’Afrique, a déjà financé plus de 1200 bourses annuelles pour des écolières performantes et défavorisées dans 19 pays sur le continent.
La Fondation utilise également la mode et les médias comme moyen de sensibilisation. La fondatrice anime par exemple une émission de télévision panafricaine, à laquelle plus de 8,5 millions de personnes sont connectées à travers les réseaux sociaux. FIN
Ambroisine MEMEDE


