Atakpamé: Une centaine de jeunes fortement sensibilisés sur les valeurs civiques et citoyennes

Une centaine de jeunes de la préfecture de l’Ogou ont été fortement sensibilisés ce mercredi sur les valeurs civiques et citoyennes, lors d’un atelier tenu à Atakpamé (environ 175 km au nord de Lomé), a constaté la correspondante de l’Agence Savoir News.

Il s’agit des responsables d’associations, des représentants d’Ongs et des groupes organisés. L’atelier est organisé par le ministère de la communication, de la culture des sports et de la formation civique en collaboration avec le ministère du développement à la base.

Objectif principal visé : Amener ces jeunes à cerner la notion du respect de biens publics et privés, la protection et la gestion de l’environnement et la culture de la paix.

Ils ont également reçu une bonne dose de notions en matière de la promotion des valeurs culturelles et du leadership des jeunes.

Ils ont suivi des communications sur le leadership des jeunes, les valeurs civiques et citoyennes et sur le projet citoyen.

Dans son intervention, Akakpo Edoh (préfet de l’Ogou) a rendu hommage au président Faure Gnassingbé qui face à la détérioration du tissu social, ne ménage aucun effort pour la formation et l’encadrement d’un nouveau type de citoyen à partir de la tranche jeune.

« C’est dans ce sens que le gouvernement continue par entreprendre de profondes réformes d’ordre institutionnel et juridique dans le secteur de la formation civique notamment l’élaboration et l’adoption le 12 juin 2014 en conseils des ministres d’une politique nationale de la formation civique et d’éducation à la citoyenneté et de l’intégration de la formation civique et d’éducation à la citoyenneté », a-t-il souligné.

Selon Agano Kofi Miléagbé (chef division chargé des programmes, médias à la Formation Civique), la dégradation des valeurs civiques et citoyennes sont multiples de nos jours : manipulation de l’ethnicité et de conscience, mauvaise interprétation de la démocratie, réclamations d’ordre politique et syndical, absence de pardon… FIN

D’Atakpamé, Kafui/Rédaction