
Au total 716 bourses d’études ont été offertes par la Fondation Merck à des médecins de 41 pays d’Afrique et d’Asie dans les domaines de l’embryologie, fertilité et soins liés à la reproduction. Cette Fondation, qui ne cesse d’étendre ses interventions en faveur de la santé et du bien-être des populations, célèbre ce 25 juillet, l’édition 2025 de la Journée mondiale de la procréation médicalement assistée par un petit bilan de sa contribution à la formation des premiers embryologistes et experts en reproduction et fertilité dans plusieurs pays tels que la Gambie, le Libéria, le Burundi, la Guinée, le Tchad, le Niger, la Sierra Léone, le Malawi et le Congo. La Fondation a également soutenu la formation du personnel des premiers centres publics de Fécondation In Vitro (FIV) au Rwanda, au Burundi, en Éthiopie, au Niger, au Bangladesh et au Myanmar.
Plusieurs autres actions ont été menées par la Fondation Merck, dont le lancement d’un film d’animation intitulé « Plus Qu’une Mère » qui sensibilise sur la lutte contre la stigmatisation liée à l’infertilité, la prévention de l’infertilité masculine.
« À la Fondation Merck, nous célébrons laJournée Mondiale des Technologies de Procréation Médicalement Assistéeen renforçant les capacités en matière de Fertilité et de Soins de Reproduction et en autonomisant les femmes infertiles en améliorant leur accès à l’information, en changeant les mentalités et en leur fournissant des soins de fertilité de qualité et équitables en Afrique et en Asie, dans le cadre de notre campagne intitulée Plus Qu’une Mère », a déclaré Dr Rasha Kelej (CEO de la Fondation Merck).
« Je suis très fière d’annoncer que nous avons accordé jusqu’à ce jour 716 bourses d’études en Embryologie, Fertilité et Soins Sexuels et Reproductifs à de jeunes médecins de 41 pays d’Afrique et d’Asie pour qu’ils deviennent des Embryologistes et des experts locaux en Fertilité et Soins de Reproduction dans leurs pays. De plus, nombre de nos anciens boursiers ont été formés pour devenir les premiers experts locaux dans leurs pays où ils n’avaient jamais eu un seul embryologiste ou spécialiste de la fertilité avant notre programme », a-t-elle expliqué.
Notons que la Fondation Merck « Plus Qu’une Mère » est une campagne puissante qui définit des interventions visant à renforcer les capacités de soins de fertilité et de reproduction de qualité et équitables, à briser la stigmatisation liée à l’infertilité et à sensibiliser sur la prévention de l’infertilité et l’infertilité masculine en particulier.
Par ailleurs, 2 280 bourses à des médecins de 52 pays dans 44 spécialitésmédicales critiques et mal desservies.
Selon les données de l’OMS, plus de 180 millions de couples dans les pays en voie de développement, soit un couple sur quatre, souffrent d’infertilité. Dans de nombreuses cultures africaines, l’infertilité est fortement stigmatisée. Les femmes sont les seules responsables de l’échec de la conception, et la stigmatisation sociale liée à l’infertilité, en particulier pour les femmes, conduit à l’isolement et à la stigmatisation, et se traduit par la discrimination et l’ostracisme. Cela conduit généralement au divorce ou à la violence physique ou psychologique. Dans le cadre de la campagne « Plus Qu’une Mère », la Fondation Merck a lancé de nombreuses initiatives pour briser cette stigmatisation et créer un changement de culture.
Au nombre des programmes transformateurs de Merck, figure l’initiative « Empowering Berna », qui aide les femmes (qui ne peuvent plus être traitées pour infertilité) à se former à la création de petits commerces afin qu’elles puissent être indépendantes et rebâtir leur vie. Des femmes sans enfants et d’autres dites infertiles ont également été outillées grâce au mouvement Plus qu’une mère.
« Il s’agit avant tout d’accorder à chaque femme le respect et l’aide qu’elle mérite pour mener une vie épanouissante, avec ou sans enfant. La vie de nombreuses femmes infertiles a été transformée dans de nombreux pays africains comme le Kenya, l’Ouganda, Nigéria, République Centrafricaine, Niger, Malawi et bien d’autres », a ajouté le Dr. Kelej.
Rappelons que plus de 3700 représentants de médias issus de 35 pays ont été formés par la Fondation Merck pour sensibiliser la communauté et de briser la stigmatisation liée à l’infertilité et aux femmes infertiles et sans enfants. Des supports de communication ont été élaborés par la fondation, pour contribuer à l’éducation et soutenir les valeurs familiales fortes d’amour et de respect dès le plus jeune âge, une façon de préparer la jeunesse à efficacement prendre le relai dans l’élimination de la stigmatisation liée à l’infertilité et les violences conjugales qui en découlent.
La Fondation Merck, créée en 2017, est la branche philanthropique de Merck KGaA Allemagne, vise à améliorer la santé et le bien-être des populations et à faire progresser leur vie grâce à la science et à la technologie.
Savoir News